"Bon appétit, Monsieur Soleil" en sélection au Washington DC Environmental Film Festival (USA )

Publié le par F.Rascol

Environmental Film Festival; Bon appétit, Monsieur SoleilC'est la 18ème édition du Washington DC Environmental Film Festival. Il s'est donné pour objectif de célébrer notre merveilleuse dame Nature ainsi que d'éclairer le challenge toujours grandissant que constitue la vie sur Terre. Cette année l'accent était plus particulièrement mis sur "la connexion vitale entre la nourriture et l'environnement. Ce que nous mangeons est essentiel à notre santé ainsi qu'à notre sentiment de bien-être. Comment la nourriture est produite et transportée jusqu'à notre table affecte les conditions existantes sur notre planète."

Et parmi les "Notre pain quotidien" de Nikaulos Geyrhalter et autres "Carbon nation" de Peter Byck se trouvait sélectionné le lauréat du Festival du Film d'Environnement de Bourges ( meilleur documentaire et Arbre d'or ) du Festival, j'ai nommé : "Bon appétit, Monsieur soleil" de Boris Claret ( projection aujourd'hui sur le campus de la American University ).

Bon appétit, Monsieur Soleil -  2005 - 27'
Réalisation : Boris Claret
Production : Paul Chiesa pour Lapilli Films
Distribution : Rambalh Films
Résumé : Au bord du Sahel, le bois de cuisson se fait rare et cher. Le désert avance chaque année à grands pas. Pour contrer cette déforestation et la misère induite, tout un réseau d’ONG, d’artisans soudeurs et d’associations de femmes développent depuis dix ans une alternative efficace au bois de cuisson : les cuisinières solaires paraboliques.

 Ce film de sensibilisation et de promotion nous fait rencontrer, du nord au sud du Burkina-Faso, des femmes et des hommes qui s’approprient et développent cette technique pour prendre en main leur avenir.

 Promouvoir la cuisine solaire, c’est bien sûr contribuer à moins de dévastation de l’environnement en limitant la désertification et ses conséquences sur la vie des hommes, mais c’est aussi améliorer le quotidien des femmes qui, chaque jour, marchent plusieurs heures pour aller ramasser, quand elles ne l’achètent pas fort cher, du bois de chauffe pour cuisiner ensuite au milieu des fumées ; c’est participer à l’économie locale par la production artisanale des cuiseurs et par la possibilité qu’offrent ensuite ces appareils de développer des activités qui requièrent de l’énergie thermique ; et enfin, c’est permettre à l’Afrique, très simplement et à peu de frais, d’utiliser la ressource dominante qui la caractérise mais qui, jusqu’à aujourd’hui, la dessèche : le soleil.

Retrouvez "Bon appétit, Monsieur soleil" sur le site du Festival : c'est ici ou

Publié dans Sélection en Festival

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J
<br /> challenge chaque jour grandissant, oui !<br /> cela m'évoque SOLEIL VERT.... à défaut de cuisine solaire !<br /> <br /> <br />
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